5 INDISPENSABLES RECOMMANDATIONS ALIMENTAIRES DE BASE !

Table des matières

Parlons simple, parlons sain. Revenons à la base de ce qui est bon pour vous. Dans cet article vous allez voir, les fondamentaux alimentaires pour UN CORPS AU TOP !!! Nul besoin de se compliquer, juste de connaitre ce qu'il faut pour savoir avec quoi vous régaler et pourquoi. Bonne lecture, bonne découverte. VOUS ÊTES AU TOP !!!

Nous sommes ce que nous mangeons.

Phrase mainte fois entendue, que signifie-t-elle exactement ?

Cela signifie que vos choix alimentaires ont un effet direct sur vous, votre physique, votre moral, l’ensemble de votre corps et sur votre santé. Il ne s’agit pas de quelque chose d’anodin, mais de 100 000 moments de votre vie.

Lorsque vous mangez, vos nutriments, après être passés par vos muqueuses intestinales, iront dans votre sang et pour finir dans vos cellules. Vous devenez donc ce que vous mangez, CQFD.

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Manger représente environ plus ou moins 100 000 repas dans une vie, ce qui équivaut à 3 repas et demi par jour.

La science démontre que ce qui vous fait prendre du gras et tomber malade est le fait de manger trop souvent et trop sucré.

Pour rester en bonne santé le nombre de repas est limité, au-dessus cette limite, cet excédent met votre équilibre et votre santé en danger, le gras s’invite et tous les désagréments le suivent, allant des maladies cardiovasculaires à certains cancers.

Manger trop de repas est donc très mauvais pour votre santé, car votre corps a besoin d’une pause pour se rétablir, se réparer et pour cela il faut lui donner le temps nécessaire.

Ce que vous mangez est important, mais aussi combien de fois et quand vous le mangez ?

Des fait très intéressants que je développe dans mon article sur le jeûne séquentiel.

LES QUATRES ÉLÉMENTS

La nourriture est composée de quatre éléments qui sont l’eau, les protéines, les graisses et les sucres.

Vous allez voir dans cet article, des bonnes habitudes à adopter avec les quatre éléments composants la nourriture. Grâce aux recommandations générales et quelques-unes à éviter ou diminuer, vous pourrez agir sur votre santé de manière positive pour UN CORPS AU TOP !

Pour pouvoir jouir pleinement de cette formidable « merveille » qu’est votre corps humain, il est préférable de miser sur la qualité et la variété plutôt que sur la quantité. La quantité est à modérer en fonction de la nature des aliments. Il n’y a pas de bons ou mauvais aliments. Tout est question d’équilibre global. La quantité dépendra de chacun, de son physique, de ses objectifs et des différents instants de sa vie.

Vous allez donc plutôt vous axer sur la variété et les différents choix afin d’avoir une bonne alimentation bonne pour votre santé. Car ce sont les mauvais choix alimentaires répétés que vous prenez chaque jour qui agissent de manière néfaste sur votre capital santé, en provoquant cancer, diabète, cholestérol… 

Recommandations générales

1— Buvez suffisamment d’eau 

2— Mangez varié avec beaucoup de légumes

3— Limitez l’alcool

4— Faites-vous une petite gâterie régulièrement

5— Consommez peu, pas ou moins de produits industriels

 1— BOIRE SUFFISAMMENT D’EAU

Après l’oxygène, l’eau est l’élément le plus important pour le maintien de la vie. Le corps est composé à plus de 60 % d’eau, si vous perdez 2 % de votre poids en eau cela réduit de 20 % vos capacités physiques. Perdre entre 5 et 7 % peut être mortel. Il vous faut la renouveler régulièrement, car une partie est éliminée lorsque vous respirez, allez aux toilettes…

De plus, il y a beaucoup d’eau dans votre sang. Voyez donc son importance, puisque c’est le sang qui transporte les nutriments et l’oxygène à vos muscles. Une bonne hydratation est capitale pour être en haute intensité lors de vos séances de HIIT.

Un des premiers réflexes matinal doit être de se réhydrater en buvant de l’eau avant même de penser à manger.

Boire à jeun est une manière douce de stimuler vos organes, également un moyen très efficace pour éliminer les toxines.

Un repère simple pour savoir où vous en êtes par rapport à votre hydratation et tout simplement la sensation de soif. Avoir soif, c’est déjà être déshydraté. N’hésitez pas à boire régulièrement tout au long de la journée, de petites gorgées et non une grande quantité d’un seul coup. En buvant trop et d’un coup, l’intestin sera débordé, il n’aura pas le temps de digérer, l’eau sera trop vite évacuée et cela peut causer une chute du sodium dans le sang.  

Un autre repère de votre niveau d’hydratation est la couleur de l’urine qui doit s’éclaircir. Au début le matin, elle est d’une couleur foncée, puis de plus en plus claire. Pour finir le soir, elle est claire, transparente comme ou quasiment comme de l’eau.  

L’eau est la meilleure boisson au monde, alors faites d’elle votre boisson principale, diminuez ou éliminez si possible les boissons sucrées. Vous avez la possibilité, si vous le désirez, de rajouter du goût à votre eau. Comme avec un demi-citron qui est excellent pour booster l’organisme grâce à son apport en vitamine C. Tiède, cela stimulera votre intestin ! Mais attention pas de citron dans votre eau lorsque vous jeûnez, car cela casserai votre jeûne séquentiel.

Si vous buvez régulièrement, vous n’aurez pas à vous demander « quelle quantité d’eau faut-il boire ? », tout est question de sensation. Être à l’écoute de votre corps vous permettra de lui donner ce qu’il réclame. 

Attention à ne pas confondre la faim et la soif. Si ce n’est pas l’heure du repas et que la faim se fait sentir, commencez par boire, attendez un bon quart d’heure et voyez si la faim persiste.

J’ai moi-même longtemps confondu la faim et la soif, ayant l’impression d’avoir une faim sans fin. Mon corps me réclamait à boire et je lui donnais à manger. En sortie de repas, j’avais faim selon moi et finalement j’ai fini par comprendre que c’était la soif. J’ai d’ailleurs pris l’habitude de boire en fin de repas. 

Il peut être mieux de peu boire (voir pas du tout) pendant les repas que boire pendant les repas, car cela peut gêner la digestion ou produire une sensation désagréable due au volume de l’estomac. Par contre, une bonne infusion après aide à la digestion. Il n’est évidemment pas interdit de boire pendant les repas, cela pouvant pour certains faciliter la progression du bol alimentaire (lors d’un repas un peu sec par exemple), mais recommander de ne pas boire de manière excessive. 

Il y a trois moments clefs où boire vous sera grandement bénéfique.

Le matin, le midi et le soir.

Le matin à jeun parfait pour le réveil comme vu plus haut.

Le midi 20 minutes avant le repas, pouvant agir comme un coupe-faim pour éviter de trop manger. Après le repas pour faciliter la digestion.

Le soir, soit avant le repas pour ne pas trop manger et aussi juste avant le coucher. Une boisson chaude, par exemple tisane au tilleul, pour aider à l’endormissement. Pas de café ni de thé, la caféine et la théine étant des excitants. Pour les tisanes, prenez bien garde à prendre des infusions à ne pas confondre avec le thé.

Mais alors, quelle eau boire ?

Cela dépend de chacun et de son lieu de résidence, si vous avez la chance de vivre là où l’eau de source coule directement de votre robinet, alors buvez-la à volonté.

Par contre de manière générale, je ne vous recommande pas de boire de l’eau du robinet, qui n’est pas mortel, j’en conviens, mais qui n’est pas non plus (sauf exception) la meilleure eau que l’on puisse boire.

Il y a des filtres permettant de diminuer la pollution de cette eau traitée chimiquement, mais qui ne peuvent malheureusement pas tout filtrer, laissant passer les petites molécules polluantes.

Pour un filtrage plus efficace, il faudra investir dans un système de purification par « osmose inverse ». Un système coûteux en entretient, à l’achat et à l’utilisation.  

Pour faire simple, ce que vous devez rechercher lorsque vous buvez de l’eau est qu’elle soit la plus pure possible. Pour qu’elle puisse vous purifier et vous aider entre autres à vous débarrasser des toxines. Si vous recherchez un apport en calcium par exemple, mangez des amandes ou des légumes verts, votre eau n’est pas là pour ça !

Ce qui importe, c’est ce qu’elle emporte et non ce qu’elle apporte. Choisissez-la pauvre en minéraux, c’est-à-dire avec des résidus à sec inférieurs à 100 mg/litre. Les minéraux contenus dans l’eau en trop grand nombre ne peuvent être tous assimilés et finissent par vous polluer en encrassant vos reins. 

Mais comme toujours, soyez à l’écoute de votre corps, si une eau ne vous plaît plus, c’est qu’il est tout simplement temps d’en changer.

En résumé, je vous recommande au quotidien des eaux de source pauvres en minéraux (voir étiquette résidu à sec à 180 °C doivent être inférieur à 100 mg/L).

Les autres eaux pouvant être bues de manière plus occasionnelle.

2— MANGER VARIÉ ET BEAUCOUP DE LEGUMES

Si je parle d’une alimentation « déséquilibrée », c’est en référence à la pyramide alimentaire et aux recommandations qui en découlent.

Tout d’abord, la notion de plaisir est primordiale. Il ne s’agit pas de se frustrer ni d’interdire, aucun aliment n’est interdit (sauf raison médicale…) dans une alimentation variée.

Les goûts et odeurs des plats sont très importants, il est bon pour votre cerveau de percevoir et sentir une alimentation qui le ravit et pour votre corps d’avoir une bonne hygiène alimentaire. Ce cocktail permet de diminuer les comportements compulsifs par rapport à la nourriture.

Ce que je nomme repas varié est tout simplement une bonne combinaison des aliments, dans une bonne proportion. Les quantités varient d’une personne à une autre, devront être adaptées en fonction des besoins énergétiques de chacun. Non pas basées sur les recommandations des services de santé publique, qui eux sont censés être « équilibrés ». Allant même jusqu’à nous induire en erreur en nous expliquant par exemple qu’il faut boire du lait de vache régulièrement. Non, les produits laitiers ne sont pas nos amis pour la vie ! Ils peuvent même devenir ennemis de votre santé si consommés chaque jour. Vos amis en matière de calcium seront plutôt, les amandes, persil, sardines, tofu, noix… 

En ce qui concerne les fruits et légumes, il nous est recommandé d’en manger au moins 5 par jour, ce qui est vraiment minime, sachant qu’il faudrait que cela représente 80 % de notre alimentation (surtout les légumes).

Le premier objectif sera donc d’en introduire à chaque repas, pour progressivement faire en sorte que votre alimentation soit composée majoritairement de produits végétaux. En consommer tout en découvrant avec plaisir plein de nouveaux délices gustatifs, les aromates, les épices seront des compagnons parfaits pour vos plats.    

Les fruits et légumes frais de saison (bio si possible) ont un rôle de fonctionnement et de protection notamment grâce aux vitamines. Ils vous apportent des fibres, ils vous protègent des maladies et permettent à votre organisme de fonctionner grâce aux nutriments qu’il reçoit. Ils vous aident à lutter contre les radicaux libres, qui accélèrent la mort et le vieillissement de vos cellules. Pour les détruire, il faut des antioxydants. Je vous laisse deviner où vous pouvez en trouver (dans les fruits et légumes bien sûr 😉).

Une mauvaise cuisson peut altérer les propriétés nutritionnelles des aliments, les vitamines et minéraux peuvent être facilement détruits.

Quelle que soit la cuisson choisie pour les légumes, toujours faire en sorte que l’eau qui le constitue (dans laquelle se trouvent les vitamines et les minéraux) reste dans le légume, sauf si on la boit comme dans le cas d’une soupe. Évitez les cuissons trop longues à la poêle ou de les faire bouillir si ce n’est pas une soupe. Pour la cuisson vapeur, assurez-vous d’avoir un bon appareil respectant ce principe. 

Le groupe des viandes participe à la construction de votre corps et contient principalement des protéines. Ces protéines sont nécessaires pour la construction des muscles et de la peau. Ils vous apportent les nutriments essentiels, le fer, le zinc, vitamines B12.

Il n’est pas rare dans les foyers français d’en consommer une à deux fois par jour, mais c’est beaucoup trop. En effet, consommer en excès cela cause des désagréments dus aux Fers et acides gras qui ont le même caractère inflammatoire.

Le Fer accélère le vieillissement et les pathologies liées à l’âge. Plus on consomme de viandes, plus il y a des risques de surpoids, diabète, maladies cardiovasculaires, pathologies inflammatoires de cancers et même de maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

Il vaut donc mieux en manger moins, mais de bonne qualité. Pour une viande de bonne qualité, favorisez les animaux élevés en plein air et au grain. Leur chair sera remplie d’oméga 3 (bonne graisse) plutôt que de manger des viandes d’élevage industriel (pleines de mauvaises graisses).

Il est donc important de savoir avec quoi ont été nourries les viandes que l’on vous propose. N’hésitez pas à le demander à votre boucher. Si vous les achetez en supermarché, il y a le label de qualité Bleu Blanc Cœur.

Les recommandations pour un homme sont d’en manger une à deux fois par semaine. Oui oui par semaine ! Non pas par jour, comme nous le faisons aujourd’hui en France, où nous consommons près de 95 kg de viande par an et par personne…

Pour une femme deux à trois fois par semaine (ayant un plus grand besoin de fer, du entre autres au fait qu’elle en perd lors de sa menstruation). 

Pour les femmes enceintes ainsi que pour les enfants en pleine croissance, il sera possible d’en consommer jusqu’à une fois par jour. 

Comme pour les légumes, la viande n’échappe pas à cette règle de base : une mauvaise cuisson peut altérer les propriétés nutritionnelles des aliments, les vitamines et minéraux peuvent être facilement détruits.

Les viandes trop cuites perdent énormément de leurs bienfaits et peuvent devenir dangereuses si vraiment trop cuites. Le grillé est à éviter, car il est cancérigène, de plus très mauvais pour nos gènes, car il en accélère le vieillissement, la viande grillée est carcinogène (peut causer le cancer).

Mais les végétariens et végétaliens comment font-ils pour se passer de viande ?

Et bien, ils trouvent dans les fruits et légumes tous les bienfaits de la viande. Pour cela, ils mangent varié et font d’astucieux mélanges. Ils remplacent de cette manière les protéines animales par les protéines végétales. Pour les protéines, ils vont mélanger les céréales et les légumes secs, par exemple du riz avec lentilles, blé, pois chiches…

Ils trouveront le zinc dans les graines de citrouille, le tournesol, le fer dans les lentilles et les pois chiches…

Il ne manquera que la vitamine B12, qui se trouve dans les viandes, mais qui peut être consommée sous forme de complément alimentaire. Rien ne presse, le corps, le foie pour être plus précis, a une réserve d’environ 3 années.

Comme la vitamine B12 est retrouvée exclusivement dans les produits animaux, nous sommes en droit de nous demander comment nos ancêtres, qui étaient végétariens, ont pu survivre et permettre l’évolution de l’espèce humaine.

Tout simplement parce que la vitamine B12 est d’origine bactérienne, leurs aliments (tubercules,fruits, pousses et autres végétaux) en contacte avec la terre et ses bactéries  permettaient par contamination d’apporter la vitamine B12 nécessaire. Ainsi ce n’est pas la viandes qui directement apporte la vitamine B12 mais les bactéries ingurgitées par les animaux, que l’on retrouvent ensuite dans leurs chaires.

Avant nos ancêtres n’avaient pas besoin de manger de viande puisqu’ils étaient eux même en contacte avec ces bactéries.

le fait de manquer de vitamine B12 concerne tout le monde, végétarien ou pas, car cette vitamine vient de la terre, pas de la viande, vous la retrouvez dans la viande, car les animaux mangent de la terre en s’alimentant, nous nous sommes devenu trop propre qui est quand même une bonne nouvelle dans l’ensemble 😉.

Pour savoir où vous en êtes par rapport à la vitamine B12 et pour un test fiable, faites un test d’urine que votre médecin analysera (ce test doit vérifier la concentration en acide méthylmalonique dans vos urines)

Une fois les résultats analysés par un médecin, des suppléments ou des traitements pourront combler l’éventuel manque de la vitamine B12

Et les poissons dans tout ça ?

Pour faire simple, nous pourrions les diviser par deux, les poissons gras et les poissons maigres.

Dans les poissons gras, il y a par exemple : le thon, le saumon, le turbot, la sardine, le maquereau…

Concernant les poissons maigres, il y a par exemple : le colin, la sole, la daurade, la rascasse, la raie…

Le terme gras n’est en réalité pas vraiment approprié. Il est essentiellement dû au fait qu’en les comparant, on note en effet une catégorie plus riche que l’autre en lipide. Sachant que les poissons maigres ont un apport calorique allant rarement au-dessus des 1 %.

Mais sachez que les poissons dits « gras », même les plus gras des poissons dits « gras » ne le sera jamais plus que la plus maigre des viandes maigres.

Les poissons gras sont les plus riches en oméga 3, ils sont à l’origine très bons pour la santé. Ils apportent une protection pour le cœur et le cerveau, grâce à leurs oméga 3 et leurs acides gras. Malheureusement, les plus riches également en métaux lourds et polluants en tous genres, qui sont des plus néfastes pour votre organisme.

Les poissons dits « maigres » sont quant à eux moins riches en oméga 3. Pour autant, ils gardent tout de même un intérêt pour la santé, apportant eux aussi leur part de vitamines (A, B, E, D), d’oligo-éléments (fluor, zinc…).

Mangez du poisson deux fois par semaine en variant entre les deux catégories de poissons et une très bonne formule. Au moins un poisson « gras » par semaine, pas plus de deux. Si vous mangez une troisième fois du poisson dans votre semaine alors, optez de préférence pour un poisson maigre.  

 ASTUCE :

Pour dépolluer vos poissons, choisissez la cuisson vapeur, une grande partie des polluants et métaux lourds partiront avec l’eau 😉.

L’eau qui en découle étant rempli des produits toxiques ne pas s’en servir, mais la jeter.

(les lecteurs de cet article ont également lu : Le petit-déjeuner n’est pas ce que vous pensez)

3— LIMITEZ L’ALCOOL

Je vais essayer de ne pas vous saouler (oui, je suis très en forme ! 😊).

Voici les raisons pour lesquelles il est bon de limiter sa consommation d’alcool.

Tout d’abord, c’est une question de foie.

Le foie est l’organe qui souffre le plus de la consommation d’alcool. C’est le foie qui filtre la quasi-totalité de l’alcool, cela lui demande un énorme effort. Le foie rempli de multiples fonctions essentielles pour le corps, dont la dégradation des substances toxiques, il ne peut donc pas traiter de grosses quantités d’alcools en une seule fois. Un foie en bonne santé mettra une heure pour la détoxication d’un verre de vin ou une bière par exemple.

Lors de la détoxication, le foie dégrade les substances en produits non toxiques. Les produits liposolubles finiront dans les selles, dans le cas de l’alcool (hydrosoluble), il sera (après détoxication) reversé dans le sang, qui le transportera jusqu’aux reins et finira dans vos urines. 

Si vous buvez trop, votre foie est débordé. L’alcool se retrouve alors dans la circulation sanguine, sans détoxication, perturbera votre cerveau, votre cœur et l’ensemble de votre organisme. Vous serez de plus en plus ivre.

Attention à la déshydratation !

L’alcool est diurétique, ceci empêche une bonne hydratation. 

Si l’on pousse jusqu’à l’ivresse alors, le cerveau sera perturbé, ce qui causera un dérèglement hormonal. Les reins se mettront à produire trop d’urine, ce qui éliminera énormément d’eau, qui ne sera pas compensée par la faible teneur en eau des boissons alcoolisées. Il faudra donc boire beaucoup d’eau pour se réhydrater et espérer éviter les maux de tête du matin, parfois dû à la déshydratation.

En effet ayant besoin d’eau pour son bon fonctionnement et afin de pallier cette fuite, le corps compense en allant chercher l’eau même dans le cerveau (le cerveau est composé à 80 % d’eau) ce qui aura pour effet de diminuer momentanément la taille de celui-ci.

Une consommation chronique aura pour conséquence le dépôt de graisses à l’intérieur des cellules du foie (stéatose). Le foie n’arrive plus à se débarrasser de la graisse, il se forme alors ce que l’on nomme le foie gras. Ce phénomène se produit si l’on boit sans modération pendant quelques jours. Pour stopper ce grossissement du foie, il faut alors ne plus boire du tout, ou avec modération, il faut agir avant qu’apparaisse une inflammation.

Une inflammation signifie que les cellules du foie sont endommagées par l’alcool. On parle alors d’hépatite alcoolique, c’est une affection grave dont peut résulter une jaunisse, une fatigue continuelle…

L’hépatique alcoolique précède souvent la cirrhose qui est irréversible. Dans ce cas, les cellules du foie meurent et le foie perd sa fonction dépurative, pouvant causer la mort de la personne, la seule solution est alors d’arrêter de boire totalement et définitivement de l’alcool.

Concernant l’alcool, il n’y a pas de règles fixes quant à la quantité que vous pouvez boire pour ne pas endommager votre foie. Soyons claires, votre foie n’aime pas l’alcool. Pour lui, la meilleure quantité est tout simplement le moins possible et si possible pas du tout. Evitez d’en consommer quotidiennement, mais plutôt un ou deux verres de temps à autre pour le plaisir, votre foie vous en remerciera. 

Abstinence ?

En matière de HIIT, l’abstinence est le top ! L’alcool diminue les réserves d’énergie et d’eau. Il est forcément difficile d’être performant, quand l’alcool accélère votre rythme cardiaque, et vous essouffle.

Après l’effort, le réconfort ? 

Non pas vraiment à moins que vous n’aimiez les courbatures, car l’alcool après l’effort ralentit la récupération.

Il ne s’agit pas de vous frustrer si vous aimez boire de l’alcool, mais de trouver le bon équilibre afin d’allier plaisir et santé.

Pensez à boire également de l’eau quand vous buvez de l’alcool. Ne pas boire le ventre vide, évitez de consommer de l’alcool juste avant ou après un entraînement ou compétition sportive. 

Santé !!!

4— Faites-vous une petite gâterie régulièrement, c’est bon pour votre santé

Manger, ce doit être un plaisir, un moment agréable, avec des plats savoureux et non un moment de stress et de culpabilité. Rien n’est interdit (sauf raisons médicales) bien au contraire, soyez curieux.

C’est l’ensemble de ce que vous mangez qui fera que votre alimentation est saine ou non. Restez souple, ne vous enfermez pas dans des obligations. Le tout est d’avoir des repères alimentaires et de ne surtout pas entrer en guerre avec une part de pizza ou une glace au chocolat. 

Le fait de se permettre des plaisirs réguliers empêche la mise en place de ce mode « stockage de graisse pour pallier les manques éventuels ». Régulièrement comme des piqûres de rappel vous lui montrez que vous n’êtes pas dans une telle période. 

Si vous ne le faites pas et que vous suivez un régime alimentaire trop stricte, alors pour s’adapter au manque, votre corps va baisser votre métabolisme. Tout le contraire de ce qu’il vous faut pour UN CORPS AU TOP !!!

De plus, le jour où vous allez manger un peu plus, cela sera vécu comme une véritable agression ; au lieu de le vivre comme une piqûre de rappel ayant pour but de vous faire plaisir et en même temps de permettre au corps d’être plus fort, en sachant gérer tous types de situations alimentaires.

Alors, ne vous privez pas, apprenez à vous faire plaisir de façon planifier. Vous vous sentirez encore plus motivé pour mieux gérer votre alimentation, pouvoir continuer à exercer le corps à toutes éventualités et vous permettre de ne pas faire une fixation sur des aliments qui vous font baver et que vous vous interdisez inutilement. 

5— Consommez peu, pas ou moins de produits industriels

Tous les produits industriels ne sont pas à mettre sur le même plan. Par exemple, certains artisans peuvent tout à fait faire des produits industriels de qualités. Pour les trouver, il va vous falloir apprendre à décrypter les étiquettes. A vous de vous informer afin de ne pas simplement croire ce que la publicité vous en dit.

Je vais donc bien définir de quels produits il s’agit.

Les produits industriels à consommer peu, pas ou moins sont des produits dont les matières premières sont de qualités médiocres et dont les ingrédients les plus coûteux sont remplacés par du chimique. Il s’agit donc de produits qui ne sont plus à des états naturels, mais transformés.   

Il est vrai que consommer des produits industriels est une manière très simple de se nourrir. Les choix sont nombreux et les emballages séduisants. Mais les produits industriels n’ont qu’un seul but rapporter le plus d’argent possible et cela rime rarement avec santé et qualité. Les aliments naturels non transformés sont tout simplement fabuleux et ont un pouvoir sur votre corps qu’aucun produit chimique n’est capable de remplacer. Aussi simple que puisse paraître un aliment, sa composition n’en est pas moins complexe.

Une alimentation très onéreuse !

Les produits industriels rapportent énormément de revenus aux industriels tout en fatiguant votre santé et votre portefeuille.

Les recettes maison permettent d’avoir un contrôle sur ce que vous mangez, sur la qualité et la quantité. Contrairement aux idées reçues, bien moins onéreuses que de consommer des plats déjà préparés. Prenez le temps de lire le prix au kilo, vous devriez être effaré.

Par exemple moi qui aime les carottes râpées, je ne peux m’empêcher d’écarquiller les yeux lorsque je vois le prix au kilo. Dépassant largement les 10 euros, alors que le prix des carottes au kilo n’excède pas les 2 euros. Les crêpes étant également une de mes gâteries favorites, il ne me vient même plus à l’idée d’en acheter déjà préparées. En sachant que pour dix crêpes, cela me reviendrait environ à 1,50 euro, tandis qu’avec un peu d’huile de coude (c’est à dire en le faisant moi-même) j’en ferai pour le même prix à peu près le double et parfaitement à mon goût. Tout en sachant exactement, ce qu’il y a dedans (traçabilité) et les exemples de ce genre sont multiples.

Je rouvre la parenthèse traçabilité et insiste sur son importance. Une célèbre enseigne (IKEA pour ne pas les nommer) avait par exemple dû retirer de 23 pays ses tartes, car les autorités sanitaires d’un pays concerné (la Chine pour être précis) avaient décelé des bactéries de type coliformes. Ces bactéries, normalement peu dangereuse sont généralement une indication de contamination fécale…    

La règle est simple. Tous les produits transformés en particulier les plats préparés sont beaucoup plus chers que le fait maison. Ne vous faites pas avoir par le « low cost » lui aussi bien trop cher.

Cela dit, les plats préparés peuvent parfaitement servir en dépannage de temps à autre. Préparer à manger pour soi et les autres peut être une manière de se prendre en main. Vous constaterez que rien ne vaut l’huile de coude pour baisser les prix et augmenter la qualité et le goût de vos plats. Ainsi vous aurez la possibilité d’ajouter de choisir et de doser vos épices et aromates de préférence bio. Afin qu’ils aient préservé au maximum leurs arômes, leurs couleurs pour égayer vos plats et tous les minéraux et nutriments excellents pour votre santé.  

Une alimentation moins nutritive !

Les produits industriels n’ont pas pour but d’être nutritifs et ne s’en embarrassent pas. Ils vous vendront sans problèmes une poudre bourrée de colorant et de sucre, pour que vous puissiez vous régaler d’un merveilleux goût orange 0 % naturel et totalement dénué de fibre. Ou bien une pâte à tartiner au chocolat noisette remplie à plus de 50 % de sucre et d’huile de palme (trop d’acides gras saturés augmentant les risques cardiaques, d’artères bouchées, d’inflammations chroniques…). 

L’intérêt nutritionnel des produits industriels est pauvre si on le compare au fait maison. Par exemple, les exhausteurs de goût naturel que sont les épices sont remplacés par des exhausteurs de goût tels que le glutamate se cachant derrière des intitulés tels que E620, E625 (fortement soupçonné d’augmenter les risques d’Alzheimer) ou l’aspartame E951 (probablement cancérigène).   

Fibres, vitamines, minéraux et antioxydants sont des composants des fruits et légumes frais permettant entre autres de lutter contre les radicaux libres et les cancers. Contrairement aux produits transformés chimiquement, qui eux les favorisent.  

Une alimentation plus calorique !

Avez-vous remarqué comme vous avez faim et soif juste après avoir mangé des aliments types fast-food ?

La raison est que vous êtes en présence du « trio magique » SUCRE/GRAISSE/SEL qui lorsqu’il est finement dosé, vous rend totalement addict au point d’avoir envie de manger encore et encore.

Il est bien connu que le sel donne soif. Alors afin d’augmenter votre envie de boire, ils mettent du sel dans les boissons sucrées. Afin de masquer le goût du sel, ils augmentent la dose de sucre.

Bien sûr, cela n’est pas sans conséquence, nombreux sont les maux liés à ce mode d’alimentation, tels que le diabète, l’obésité

Même si des efforts ont été faits dans les plats cuisinés, afin de rendre leurs plats moins caloriques, ils le restent bien trop dans l’ensemble.

Si comme moi vous pratiquez le jeûne séquentiel, vous savez d’autant plus l’importance de ce que vous mangez qu’il faut savoir varier et donner à votre corps ce dont il a besoin

Suivre ces 5 règles alimentaires permet d’adapter votre alimentation à vos besoins, plutôt que de suivre un régime quelconque.

Adaptez-les progressivement pour UN CORPS AU TOP !

J’espère que cet article vous a plu, dites-moi dans les commentaires quelles sont vos habitudes alimentaires.

Quel pourcentage représentent les fruits et légumes dans votre alimentation ?

Quelle est la petite gâterie que vous adorez vous faire ?

N’hésitez pas à le partager dans les commentaires. 🙂 .

 

 

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